Contexte ;
Depuis les attentats de 2001 et l'augmentation des scènes de violence partout aux États-Unis, les médias s'accordent tous sur un même point :
Les villes ne sont plus sûres, et les habitants sortent de chez eux avec la peur au ventre. Ce n'est qu'après l'élection d'un nouveau Président
démocrate que la situation prit enfin un tournant drastique. Chers citoyens, vous ne voulez plus de délinquants et de truands dans la rue ? Parfait !
On va tous les coffrer. Sans exception.
C'est comme ça que ça a commencé. On était en 2004. L’État a tenu ses promesses. Les rues sont devenues plus sûres. Mais à quel prix ? Les législations
contre tous les types d'infractions, délits et crimes ont été si strictement revisitées que désormais, même celui qui jette un pauvre chewing-gum par
terre dans la rue est susceptible d'être arrêté. Beaucoup parlent d'abus de pouvoir. L’État parle d'un ménage nécessaire de la population.
Cette nouvelle politique porte un nom récurrent pour les habitants de l’État. Un nom qui avait été oublié il y a bien longtemps, relégué au titre de souvenir.
Alcatraz. Le fameux pénitencier qui, il y a encore quelques années, se trouvait être un lieu d'amusement et de visite pour les touristes a repris du service.
Pourquoi ? Tout simplement pour faire face à la croissance exponentielle du nombre de personnes devenues des prisonniers américains. Désormais, si vous
franchissez le seuil du pénitencier, vous n'en sortirez plus jamais. Bienvenue à Alcatraz, Prison d’État, lieu de toutes les injustices et de tous les maux.
Lire le contexte complet.